Anniversaire

Catégories : Rencontres BDSM
il y a 8 ans

UNE JOURNÉE DE CUL

Je fus, le matin de mes quarante ans, réveillé le premier, à 7 heures. Quelques secondes plus tard, Marie se réveilla à son tour, ma bite plantée bien au fond de sa chatte : pour éviter de perdre du temps, nous dormions tous deux cul nu, sans slip ni pyjama. Mes doigts lui fourrageaient le trou du cul, ma bouche cherchait la sienne ; elle la trouva, nos langues se mêlèrent ; quelques minutes plus tard un violent orgasme simultané nous laissa un moment repus, enlacés, ma bite encore enfermée dans une chatte gluante.

Tous deux à poil pour le petit-déjeuner. Marie m’avait glissé un gentil gode dans le cul ; quelques claques sur ses fesses puis deux doigts dans son cul, en même temps deux dans sa chatte, l’en remercièrent. Inutile après ça de nous laver les mains, nous aimions déjà le goût de cul mêlé à celui du café.

Quelques minutes au bureau, vide à cette heure matinale ; au risque de me faire surprendre par une secrétaire en avance, me voici à poil sur mon fauteuil, bite en main et plug au cul, devant quelques-unes des photos porno planquées dans mon bureau. Encore une giclée et je pars pour aller voir un chantier.

Un petit bois sur mon chemin. Ayant l’habitude de venir m’y branler au cours de mes tournées, je ne résiste pas au désir et, de nouveau à poil, je pose devant l’appareil photo emporté pour le chantier, avec, dans le cul, le manche de la pelle que j’ai toujours dans mon coffre. Je suis à peine entré dans le bois ; les automobilistes qui ne regarderaient pas droit devant eux pourraient me voir, ça m’excite. Un moment de branlette au soleil et je lâche une nouvelle giclée.

Tout va bien sur le chantier, je pars pour une réunion professionnelle à Blois. La semaine précédente, Christine, secrétaire de la direction départementale était venue en mission dans mon bureau ; longues jambes nues, micro-jupe découvrant ses fesses lorsqu’elle rangea un dossier en haut d’un placard ; cinq minutes de voiture et elle s’était empalée sur ma queue à peine dégainée : elle ne portait pas de culotte. Lorsque nous étions revenus au bureau, l’odeur de foutre était telle que personne ne pouvait ignorer ce que nous venions de faire.

L’ayant invitée à déjeuner après la réunion, nous nous sommes retrouvés à Bracieux

― On fait l’amour avant ou après ? demande-t-elle

― Avant et après.

Avant donc, dans le bois voisin, dans ma confortable voiture : le même emballement, toujours pas de culotte mais une petite jupette blanche sous la jupe « pour garder le mystère » dit-elle. À peine le temps de la pilonner en malaxant ses attirantes petites fesses, un de mes doigts s’égare dans son cul, elle résiste. Excellent déjeuner dans ce restaurant qui, depuis, a changé de nom, et nous voici de nouveau dans les bois, tous deux à poil cette fois, sur une couverture sortie du coffre, dans un chemin où passe du monde. Plus de jupette, entre ses fesses ma langue pointe dans sa rondelle, elle pousse du cul, j’écarte bien les fesses, lui masse le fondement avec de la salive, lui plante ma bite dans le cul. Un promeneur passe, gêné il fait demi-tour. Bite en bouche et bite en chatte, Christine avale mes couilles puis met des doigts dans mon cul : ayant vite compris ce que j’aimais, la salope connaissait aussi la jouissance du cul.

Retour à la maison après un arrêt au bureau où il faut tout de même apparaître. Ne pouvant rester pour le dîner et encore émoustillé de l’épisode Christine, j’entraîne Marie dans la chambre.

― Tu t’es encore branlé et tu en as mis partout ! dit-elle en sentant l’odeur de foutre.

Je lui raconte seulement l’épisode dans le bois avec le manche de pelle au cul, elle rit, me plante dans le fondement la bite en caoutchouc avec laquelle elle se gode souvent, seule ou avec moi ; cette bite passe dans son cul, je la suce d’abord, elle ensuite ; et puis c’est ma bite, la vraie, pas encore rassasiée, dans sa chatte et dans son cul.

Réunion de mon club le soir, c’est sérieux, on n’y parle pas de cul. Retour tardif à la maison, j’ai envie de me dilater le fondement, de jouir mais aussi de m’exhiber. À poil à côté de la voiture arrêtée sur la chaussée ; une voiture passe, puis deux, elles ne s’arrêtent pas, les conducteurs ne manifestent rien. Toujours à poil, je remonte en voiture, plafonnier allumé, mais il y a peu de circulation. Nouvel arrêt, je me branle dans la voiture, m’empale le cul sur le levier de vitesses, c’est bon.

Depuis une cabine téléphonique, car pas de téléphone portable à l’époque, j’appelle Marie, lui raconte ce que je viens de faire, lui dis que je vais arriver à poil et lui demande de m’attendre, elle aussi à poil, dans le jardin. Elle était là, avec un petit plug au cul et un gros dans la main pour moi, sur une couverture étendue sur la pelouse. Je ne me souviens plus de ce que nous avons fait, je me suis endormi là, dans le jardin.

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